Série LAdultère : (Partie 5). Non Seulement Julie Trompe Son Mari Mais Couche Avec Sa Meilleure Amie Dans Une Partie À Trois.2/2
Je mappelle Julie, suite à mon premier récit, je continue à vous conter mon second adultère. Comme vous lavez lu, je navais pas attendu très longtemps avant dêtre infidèle.
Voilà, jai 36 ans, je suis une femme mariée depuis six ans, sans . Mon physique est avantageux avec mes un mètre soixante-quinze pour 61 kilos, une belle poitrine, de longues jambes fuselées et des fesses rebondies. Jentretiens mon corps car jaime que les hommes me regardent avec envie et je voudrais être désirable le plus longtemps possible. J'aime réellement mon mari de tout mon cur et nos parties de sexe sont souvent diaboliques. Je ne conçois pas ma vie sans lui et pourtant je nai pas pu m'empêcher de lui être infidèle.
Pour fêter notre anniversaire de mariage, Simon et moi, nous avions invité le couple de nos meilleurs amis. Je connaissais Sandra depuis très longtemps et Nicolas était un pote de mon mari, deux amateurs de football. Ils avaient profité de ce repas pour nous annoncer que le week-end prochain, ils partaient tous les deux à Paris pour assister à la finale de la coupe de la ligue. Sur le coup, si cela navait pas gêné Sandra outre mesure, pour moi, javais que très peu apprécié cette décision. Cétait plutôt sur la forme que sur le fond, car jaurais préféré que Simon me le demande plutôt que de me mettre devant le fait accompli. Quant à Sandra, elle me dit que cétait loccasion pour nous de faire une sortie entre femmes afin de nous amuser aussi. Restaurant et cinéma était au programme.
Pendant la projection du film, Sandra avait pris mon bras et lavait posé sur elle, je connaissais ses penchants lesbiens, elle mavait déjà, par le passé, avoué que je lui plaisais beaucoup. Mais voyant mon refus catégorique à lépoque, elle navait jamais plus parlé de cela. Cet après-midi-là, lors dune scène très sentimental deux femmes sembrassaient sur la bouche et se serraient lune contre lautre.
Je ne savais plus quoi faire, je lui ai fait comme elle, je jouais du bout de mes doigts sans jamais aller plus haut. Heureusement, le film finissait, nous étions allées au restaurant, juste à côté du cinéma. Là, ce fut la même chose, elle me regardait, me souriait et me posa sa main sur la mienne en disant :
Tu as des mains merveilleuse ma chérie.
Tout en continuant à me caresser lavant-bras en attendant les plats. Ce soir-là, nous avions pris un vin liquoreux à lapéritif et deux verres de vin rosé chacune. À la fin du repas qui ne fut quune drague en définitive, Sandra mavait fait monter en désir. Elle de son côté, ses intentions étaient claires, elle voulait passer la nuit avec moi dans le même lit. Ce dit en passant, quelle devait coucher dans la chambre damie. Je nen avais pas du tout lintention, je ne savais pas comment faire pour sortir de ses griffes et ne voulant pas la brusquer, sachant que je lavais caressée et lavais laisser faire, je lavais donc allumée en quelque sorte et ce nétait pas maintenant que je devais me plaindre.
Comme souvent, le hasard fait bien les choses, nous marchions en retournant à la voiture, elle mavait pris la main et je navais toujours rien dit, devant limmense parking du complexe se trouvait une discothèque :
Viens Sandra allons danser. Lui dis-je, pour éviter le pire.
Bonne idée ! Allons, nous éclater. Me répondit-elle.
Ouf ! Jétais sauvée pensais-je. Mon amie mavait toutefois mis le feu, nous étions à notre deuxième coupe de champagne, Sandra se mit devant moi sur la piste de danse et frottait ses fesses contre mon ventre, tout en passant ses bras au-dessus de sa tête pour attr la mienne.
Vous reprenez la même chose, jaimerais vous offrir deux coupes de champagne. Vous êtes toutes les deux charmantes.
Pourquoi pas répondit Sandra.
Jétais stupéfaite, elle se retourna et suivi cet italien, il sétait installé à notre table. Cétait un bel homme dune quarantaine dannées, très sympa. Sandra était chaude comme de la braise, elle avait déjà la main dans celle de son voisin, ils se regardaient amoureusement, leur regard en disait long pour la suite. Dun autre côté, je pensais bien quelle mavait oubliée. Je me demandais si elle allait tromper Nicolas mais comme cétait parti, il ny avait aucun doute, lorsquils étaient lun contre lautre, en train de se rouler un patin. Humberto essayait lui aussi de me draguer. Voyant que je ne bougeais pas, Sandra me surpris :
Allez Julie, laisse-toi aller, il est beau comme un dieu, profites-en aussi, nous navons quune vie.
Létalon italien avait compris, il lâcha Sandra, vint contre moi et me pris par le cou, je métais laissée emporter. Lalcool et lexcitation avaient joué son rôle, une demi-heure après nous étions dans sa chambre dhôtel. Nous étions à moitié ivre, ce fut Sandra qui me déshabillait devant le garçon qui faisait de même, elle membrassa sur la bouche, je lui rendis son baiser, je mouillais comme une adolescente, je la caressais en même temps que je lui enlevais ses vêtements, nous nous étions retrouvées entièrement nues, en train de nous embrasser et de nous caresser, pendant que litalien attendait sa queue dans la main :
Maintenant, si vous veniez avec moi ?
Linvitation était alléchante, Humberto avait ce genre de sexe que beaucoup de femmes aimeraient avoir dans le ventre. Il sétait approché de moi sur la descente de lit molletonnée pour poser ses lèvres sur les miennes.
En quelques secondes, javais changé de bouche, les lèvres de mon amie sétaient unies aux miennes puis changeaient alternativement entre Sandra et Humberto. Nos baisers étaient si brûlants que javais fini par jouir sous leurs baisers et leurs caresses. Je me suis retrouvée nue allongée sur le grand lit, les laissant caresser mon ventre et mon derrière, quatre mains qui me parcouraient, entre les cuisses, sur les seins, dans le cou et sur les fesses, cétait magique, je mouillais, je navais pas besoin de mon flamant rose.
Nous étions tous les trois nus, jétais allongée entre les deux, javais les jambes écartées posées sur les leurs, ils me caressaient la vulve et la raie de mes fesses pendant que leurs bouches me léchaient et suçaient mes seins. Un pur bonheur, jétais transportée dans un rêve érotique ils me firent jouir une nouvelle fois. À la vue de la belle érection dHumberto se mettant sur le dos, je me suis mise à quatre pattes sur le lit et je métais penchée sur sa queue, je lui déposai un baiser sur son gland avant de lenfouir dans ma bouche. Sandra sétait placée à côté de moi et lui léchait ses couilles et passait son doigt sur son anus en le caressant. Lui prenait de chacune de ses mains nos seins, nous triturant les tétons. Nos fellations le rendaient fou, il nen pouvait plus, il sortit sa bite de nos bouches, et éjacula sur nos langues. Nous nous sommes embrassées mélangeant le sperme avant de tout avaler.
Je ne pensais pas que je puisse un jour, me retrouver en présence de deux personnes de sexe opposé, mais je me sentais en totale liberté, je ne pensais quau sexe et au désir quil me procurait. Nous nous retrouvions unis sur des draps, ruisselants de sueur, de sperme et de cyprine, dans un tourbillon de plaisirs.
Humberto sétait levé, Sandra était à plat dos sur le lit, elle me demanda de la faire jouir à son tour. Javais mis la tête dans son entrejambe pour la lécher et la sucer pendant quelle faisait une savante fellation à litalien pour lui redonner sa forme initiale, Sandra me tenait la tête sur son intimité, en disant :
Bouffe-moi le cul, je veux jouir, cest bon ma chérie.
Ma bouche sur son sexe, je la léchais à grands coups de langue, provoquant des pics de plaisir électriques sur tout son corps. Je lui effectuais un cunnilingus avec application, à laffut de toutes ses réactions et de ses gémissements de plus en plus sonores. Pendant quelle suçait profondément, la verge dHumberto qui gémissait lui aussi, tout en pelotant sa poitrine et en nous félicitant de notre savoir-faire et de notre implication, ce qui était agréable et très excitant.
Je mouillais de nouveau, sans que lon me touche, Humberto avait retrouvé une érection digne de ce nom, il vint derrière-moi, léchant toujours Sandra qui allait exploser sa jouissance dans ma bouche. Jattendais ce moment, lorsque litalien sétant frayé un chemin, sétait enfoui en moi avec une grande facilité. Sa bite mavait pénétrée dans une volupté intense et humide, emplissant mon vagin qui naspirait quà se faire remplir.
Humberto entama de savants va-et-vient dans ma chatte qui souvrait comme une bouche béante de fauve affamé. Ses coups de rein sintensifiaient et sa queue me traversait avec puissance, faisant soulever tout mon corps, pendant que Sandra jouit dans un ruissellement de cyprine, appuyant ma tête un peu plus sur elle. Humberto se retira de mon ventre et passa à ma place, il rentrait dans la vulve trempée de mon amie qui voulait aussi sa part de queue.
Puis il inversa reprenant possession avec précision de ma chatte offerte. Tout mon corps se figea et se crispa, je connu un orgasme foudroyant, tout mon corps tremblait de soubresauts, pendant que je criais mon bonheur. Sandra changea de position, elle se mit en levrette, pouvant ainsi me boire et se faire défoncer par litalien qui la sodomisait cette fois, elle gémissait de plus en plus, elle avait glissé une main vers mon sexe pour en caresser le clitoris pendant quelle recevait les coups de boutoir dHumberto qui sactivait derrière elle. Le plaisir allait et venait le long de sa colonne vertébrale et lui mettait le feu au cul.
Le corps nu et musclé de létalon était à lui seul, un spectacle très plaisant, les caresses de Sandra accompagnant à merveille la pénétration quelle subissait. Sentant nos excitations grandissantes, ils avaient tous les deux accélérés en même temps, pour nous donner un orgasme qui nous avait frappée en même temps, en nous arrachant un long râle de plaisir. Puis ce fut au tour de litalien qui après avoir retiré son préservatif, éjaculait une nouvelle fois sur les fesses de Sandra en poussant un grand Ha !!!
Nous étions épuisées, pantelantes et trempées sur ce lit, jusquà ce quun employé vienne frapper à la porte, cétait le service détage qui apportait le champagne commandé par notre hôte. Cétait tellement excitant pour nous trois que nous avions recommencé à baiser, chacune notre tour avec Humberto un vrai pro de la queue.
Dans la voiture, lorsque nous rentrions au petit matin, Sandra mavoua quelle avait bien prévu de coucher avec moi, quelle lavait toujours désiré.
Tu as déjà trompé Nicolas ? Lui avais-je demandé.
Non ! Cest la première fois, jétais bourrée et cétait le seul moyen pour que je me trouve avec toi dans le même lit.
En effet, lorsquelle sétait aperçue quelle ne parviendrait pas à ses fins avec moi ce soir, voyant que jétais attiré par litalien, elle avait tout manigancé afin que ce type, pas déplaisant du tout et lalcool aidant, nous amène toutes les deux dans son lit. Il était quatre heures trente du matin, nos maris rentraient deux heures plus tard, nous nous étions douchées et nous nous étions couchées ensemble. Sandra avant de dormir me déposa un baiser sur les lèvres et nous nous étions endormies enlacées dans les bras lune de lautre.
Ce fut ainsi que Simon et Nicolas nous avaient retrouvés le lendemain matin. Ayant dormis dans le bus, ils avaient acheté les croissants et avaient attendus sagement notre réveil :
Tu as osé me tromper avec Sandra ? Me dit Simon en riant.
Maintenant, nous allons partager le même lit. Rajouta Nicolas.
Dans tes rêves ! Lui répondis-je.
Pourquoi pas. Entonnèrent ensemble Sandra et Simon.
Aujourdhui, en déplacement, jai mes deux amants : Le flamant rose et Florent et chez moi, jai Sandra qui mapporte autre chose que les hommes. Je pense que le prochain sera Nicolas mais ce sera probablement en compagnie de Simon mon mari adoré.
Chères lectrices et chers lecteurs, jaimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Julie vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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